Pepitooo [[ Le Yaoi c'est bon pour le moral XD ]]

Chapitre XVII

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Ritsuka tremblait dans les bras de son aîné. Le regard de Nastasia posé sur lui lui donnait froid dans le dos. Le blond passa sa main sur la nuque de son amant et la lui caressa tendrement. Il prit sa main et l'entraîna vers la salle centrale. Hisoka aida Ritsu' a enfiler son manteau quand celui-ci fut violemment tiré en arrière. Une fine main s'abattit sur sa joue. Des centaines d'yeux se braquèrent sur le jeune couple et sur Nastasia qui fulminait de rage. Les photographes continuaient à prendre des clichés de la scène. Ritsuka se frotta la joue, il ne riposta pas. Hisoka ne réagissait pas non plus, il regardait la rousse d'un air de dégoût. Cette femme ne lui inspirait rien d'autre.

 

- Sale morveux ! hurla-t-elle. Dégages d'ici avant que je n'te tue !

- Il ne partira pas, intervînt Hisoka en caressant chaleureusement la joue de Ritsuka. C'est toi qui va partir.

- Pardon ? s'interloqua Nastasia. Tu oublies que je suis ta femme !

- Nous avons divorcé il y a plus de cinq ans.

- ON A UNE FILLE !!! TU M'AS FAIT UN ENFANT ! cria-t-elle.

 

Hisoka leva les yeux aux ciel. Il déposa un petit baiser sur la joue endolorie de son amant et s'approcha à pas de loup de Nastasia. Cette dernière recula sous le regard perçant d'Hisoka, ses iris bleues lançaient des éclairs.

 

- Nasta', tu me connais, je suis patient, mais arrête de me prendre pour un con, j'ai horreur de ça, lui susurra-t-il dans l'oreille, à l'abris des personnes indiscrètes.

- De qu..oi tu parl..es ? bredouilla-t-elle.

- La seule fois où nous avons couchés ensemble en trois ans, je n'ai pas jouis en toi...

- Quoi... ? Non, c'est impossible... blêmit-elle.

- Tu m'as trompé, Nanami n'est pas ma fille.

- NON C'EST FAUX !! hurla Nastasia.

- Vas-t-en, murmura-t-il entre ses dents. Je ne veux plus te revoir. Prend tes affaires et disparaît de ma vie. Pars avec Lee, insista-t-il avec un sourire ironique.

- Je n'ai pas couché avec Lee ! s'indigna son ex-femme.

- Nasta... J'ai les yeux bleus, TU as les yeux bleus !  Nanami à les yeux noirs corbeaux, elle les tient de qui ? Du père Noël ?? Qui d'autre dans MON entourage a les yeux de cette couleur, Nastasia ?

 

Hisoka tenait sa femme par les épaules. Le temps semblait s'être arrêté autour d'eux, et le monde s'écroulait au dessus de la tête de Nastasia. Elle était aux bords des larmes, mais elle méritait amplement. Hisoka eut presque pitié de cette femme, mais ce sentiment laissa bien vite place à la haine qu'il lui portait. La haine de 'lavoir séparé de l'homme qu'il avait du abandonner.

 

- Je vais m'en aller, déclara-t-elle tout pâle.

- Bien, répondit Hisoka, visiblement insensible à la vaux chevrotante de son ex-femme.

 

Le blond retourna auprès de l'homme qu'il aimait. Il lui prit tendrement la main et lui fit un de ses sourires radieux. Ritsuka y répondit timidement, le rouge aux joues ( dont l'une plus que l'autre XD). Ils se dirigèrent vers Tsukushi, ce dernier arborait un sourire narquois.

 

- Je démissionne, déclara Hisoka d'un ton neutre. Je ne veux plus vivre avec cette femme et je ne veux pas te créer plu..

- Pas la peine, le coupa le manager. Il tendit une clé aux jeunes couple. L'hôtel du centre-ville vous attends. J'ai réservé une chambre magnifique pour votre première noir.

- Qu...Quoi ? demanda Hisoka qui ne comprenait plus rien.

- Je pensais que Ritsuka n'était qu'une passade pour toi, quelqu'un pour te faire oublier Nastasia. je ne voulais pas que tu l'utilise, alors j'ai tout fait pour l'éloigner de toi. Mais je ne t'avais jamais vu aussi abattu que ces trois dernières années. Même lorsque Nastasia t'as trompé, tu as gardé la tête haute. et pourtant, ce garçon t'as rendu éperdument amoureux de lui. Lorsque j'ai appris que Nanami n'était pas ta fille... Ne me regarde pas comme ça ! Tu le savais bien avant moi ! Bref, lorsque j'ai compris la nouvelle trahison de Nasta, j'ai décidé de réparer les dégâts que j'avais causé il y a trois ans. Allez filez avant que je ne change d'avis !

- Merci, articula Ritsuka, merci pour toi... merci de m'avoir fait venir.

- Je t'en prie petit.

 

Le manager et Hisoka s'étreignirent puis le couple quitta la fête sous les "clacs" incessants des appareils photos. Ils s'engouffrèrent dans la grande voiture noir.

 

- Neiko, tu peux nous déposer à l'hôtel du centre-ville ?

- Oh, mais je vois que t'as retrouvé ton bonheur !! dit le viel homme en riant.

- Neiko tu veux garder ton poste ? le menaça Hisoka.

 

Ritsuka étouffa un petit rire. Rien n'avait changé. Il était si heureux d'être à nouveau à ses côtés. Sentir son odeur et regarder son joli visage pâle, ses yeux bleu qui le transportent vers un autre monde. Oui, c'était l'homme qui lui fallait, Ritsuka en était certain. Il le voulait plus que tout.Durant la demi-heure qui séparait l'hôtel d'où avait lieu la réception, les deux jeunes hommes ne cessèrent de se lancer de doux regards langoureux. Hisoka caressait le dos de la main de son amant à l'aide de son pouce. Un sourire béat se dessina sur la visage du plus jeune. Ils avaient du attendre trois ans pour sentir leur coeur rebattre à nouveau. 

 

Le grand immeuble apparut dans leur champ de vision, les jeunes hommes descendirent de la voiture et Neiko leur adressa un clin d'oeil plus qu'explicite et démarra en trombe. Hisoka sourit et empoigna la main de son amant. Les yeux dans les yeux, ils pénétrèrent dans le hall. tellement absorbés par leur petit bonheur, ils ne remarquèrent même pas la somptuosité des lieux. Ses couleurs chaudes, ses lumières tamisés. Une ambiance d'intimité se dégageait de cette admirable salle. Ils se dirigèrent vers l'ascenseur en riant. Hisoka se colla au corps de Ritsuka et enfouit sa tête dans son cou.

 

- Tu suis tellement heureux, souffla-t-il.

- Toi aussi... Et lui aussi, ria le plus jeune en posant la main de son amant sur son entrejambe.

- Je vais bien m'en occuper , t'inquiètes pas... répondit Hisoka d'une voix mielleuse.

- Hum, je suis impatient, insista Ritsuka en passant sa langue sur ses lèvres avec un regard provocateur.

 

 Le petit couple se précipita vers la chambre qu'Hisoka s'empressa d'ouvrir. Ils pénétrèrent vivement dans ce qui allait être leur premier lieu de bonheur intense. Le blond déposa son manteau sur l'une des chaise et s'activa à enlever celui de son amant. Le plus jeune l'arrêta doucement et se pencha vers ses lèvres qu'il happa tendrement. Il prit le bassin de son amant et le pressa contre son érection.

 

- Ne te dépêches pas, on a tout notre temps... murmura-t-il.

- Désole, s'empourpra Hisoka. J'ai tellement rêvé ce moment...

 

Ritsuka sourit et commença à déboutonner la chemise de son amant en le fixant dans les yeux. Ce moment était magique, intime, les bougies qui éclairaient faiblement la pièce les plongeait dans un romantisme infini. La chemise enfin aéré, Ritsuka en écarta les pans et passa ses fines mains sur le torse musclé de son aîné. Il caressa lentement ses côtés, provoquant à son amant quelques frissons de bien être puis remonta le long de son abdomen pour finir sa course sur les tétons d'Hisoka. Il se pencha en avant et alla les titiller de sa langue, les mordillant tendrement à plusieurs reprises. HIsoka laissait échapper quelques gémissements. Alors qu'il ne s'y attendait pas, Ritsuka fut soulevé du sol, Hisoka le tenant fermement par les fesses, le jeune homme passa ses jambes autour de la taille de son aîné. Le brun se fit plaquer au mur tandis que le blond lui dévorer avidement la bouche. Il suçota ses lèvres, tournoya autour de sa langue, explora sa bouche. Ils se séparèrent à bout de souffle.

 

- J'en peux plus... j'te veux... haleta Hisoka.

- Je suis tout à toi.

 

A ces mots, le blond se dirigea vers le lit, toujours en embrassant fougueusement le brun. Il le déposa lentement sur le lit puis vint s'allonger au dessus de lui. Leurs bouches se cherchèrent à nous. De ses deux mains, Hisoka entreprit d'enlever la chemise de son cadet, d'abord lentement puis plus rapidement. Son corps le rendait fou, il avait tellement pensé cet instant, qu'il avait peur de le voir cesser un jour. Il passa la main sur le torse imberbe de Rtsuka, s'attardant légèrement sur ses tétons à moitié durci. Le torse du brun se soulevait au rythme des caresses de son aîné, lorsque sa main s'aventura sur son entrejambe, il eût un hoquet de surprise.

 

- Chut, ça va aller... lui murmura Hisoka.

 

Il dézippa la fermeture éclair du pantalon de toile beige de son cadet et fit glisser ce dernier le long des fines jambes de Ritsuka. Il lui caressa lentement les cuisses  à l'aide son pouce. Ses lèvres se posèrent dans son cou, apparemment un point très sensible puisqu'Hisoka sentit son amant onduler sous ses succions. Le blond sourit à la réaction de Ritsuka. Il continu son chemin, parcourant sa clavicule, son torse, parsemant toute cette chair de baisers humides, de baisers ardents, d'une impatience folle mais restreinte dans une enveloppe de tendresse. Arrivée à la hauteur de son boxer, il sent la respiration de Ritsuka accélérer.

 

- C'est ta première fois ?

- Oui...

- A moi aussi, le rassura-t-il dans un sourire.

 

Ritsuka se détendit, attendant la suite des évènements. Il sentit un souffle chaud sur le boxer puis une pression sur son sexe, le boxer toujours présent. Hisoka faisait des petits mouvements de va et viens sur le sexe de son amant à travers le fin tissu, ne voulant pas le brusquer, il y aller avec lenteur. Voyant le corps de Ritsuka s'arquer, il passa lentement sa main dans le sous-vêtement. Il caressa du bout du doigt le gland déjà mouillé de son amant Il le titilla avec tact puis pris le membre érigé dans sa main. Des gémissements s'échappaient de la bouche du brun, il semblait apprécier cette attention particulière. Hisoka enleva alors la totalité du boxer qui finit au pied du lit. Le blond admira le corps de son protégé.

 

- Tu es si beau souffla-t-il en se redressant, lâchant momentanément la verge de Ritsuka.

- Arrête ça me gêne ! murmura-t-il soudain pris d'une fausse pudeur.

 

Il cacha son sexe de ses deux mains, sentant le rouge lui monter aux joues. Un sourire se peignit sur le visage du blond. Il enleva doucement les mains qui cachaient l'objet qu'il convoitait tant. Il approcha ses lèvres du pénis et  le lécha du bout de la langue. La réaction fut immédiate, Ritsuka attrapa les draps sous le plaisir que lui procurait cette langue si chaude. il faillit défaillir lorsque cette langue s'enroula autour de sa verge et qu'il s'enfonça dans la bouche de son amant. Il lâcha le drap d'une main et l'avança vers le front d'Hisoka, là il lui souleva sa frange et agrippa tendrement ses cheveux afin de voir ses yeux. Les iris bleus du jeune homme le scrutaient sans gêne. Un frisson le parcourut, il se déversa dans la bouche de son ange blond.

 

- Hisoka... soupira le brun. Prend-moi , s'il te plait...

- On a tout le temps, c'est toi qui me l'a dit...

- J'en peux plus, je veux sentir ton corps pressé contre le mien, je veux te sentir boug...

- Chut... tais-toi et prend ton mal en patience, le coupa Hisoka en déposant n baiser sur son front.

 

Hisoka regarda à travers la fenêtre, la lune était cachée par de gros nuages. Une fine pluie tombait sur la ville. Le temps était loord et la chaleur étouffante. Hisoka ouvrit la fenêtre et passa sa main en dehors, la pluie était fraîche. Il eût soudain une idée. Le blond se retourna vers son amant.

 

- Habille-toi !

- Mais pourquoi ?

- J'ai une surprise, répondit Hisoka avec un sourire.

 

Ritsuka rechigna et renfila son boxer, son pantalon beige. Il ne prit pas la peine de remettre sa chemise et passa sa veste sur son torse nu. Le blond lui prit la main et tenait de l'autre une grande couverture. Il reprirent l'ascenseur et sortirent de l'hôtel. La pluie semblait tomber un peu plus fort à présent, Hisoka sourit. Il emmena son amant près d'un parc. Il faisait nuit, le parc était désert. Hisoka s'avança près d'un arbre et y allongea la serviette juste en dessous.

 

- Tu veux dormir à la belle étoile ?

- Oui...

- Tu veux ma mort ? On va chopper la crève !

- Je vais te réchauffer, répliqua le blond en attira le brun contre lui.

 

Il recommença à l'embrasser avec une ardeur peu commune, pénétrant sa langue, jouant avec celle de son partenaire. Il poussa doucement Ritsuka sur la couverture. Ce dernier s'y allongea confortablement. Hisoka observa son amant un instant et se déshabilla. Il enleva sa veste, sa chemise ainsi que son pantalon de smoking. Il prit place à côté de son homme. Ritsuka se redressa et fit de même pour ses propres vêtements. Il se recoucha aux côtés du blond. Il s'embrassèrent un moment, sentant la pluie les chatouiller, les rafraichir.

 

- Met toi sur le côté... lui souffla Hisoka.

 

Ritsuka s'exécuta. Il se retourna et sentit tout le corps du blond se coller au sien. Il sentit une bosse se presser contre ses fesses. Les baisers du blond dans le cou du brun ne faisait qu'augmenter la tension entre les deux jeunes hommes. La main qui caressait la cuisse de Ritsuka entreprit d'enlever le boxer qui finit sa course quelques mètres plus loin. Hisoka s'empressa d'ôter le sien et se recolla à son amant.

 

- Prends-moi ... vite... se plaignit le brun.

- Attends encore un peu...

 

Hisoka fit glisser son sexe sur la raie des fesses de son amant, taquinant l'orifice sans jamais y entrer. Ritsuka poussait des râles de frustration et de plaisir mélangés. Hisoka lâcha le cou du brun et portant deux de ses doigts à sa bouge qu'il humidifia avec application. Il les présenta à l'anus de Ritsuka et y pénétra le premier avec lenteur. Sentant Ritsuka bouger de lui-même, il y enfonça le deuxième doigt. Ritsuka se déchainait sous les pénétrations du blond.

 

- Je ... sui prêt ! hâleta-t-il ! Sois p..as sad..ique !

 

Hisoka sourit à la demande de son protégé. Il déposa un nouveau baiser dans son cou et empoigna son propre sexe qu'il dirigea vers l'orifice du brun. Il y entra lentement le gland. Ritsuka passa son bras derrière lui et attrapa la nuque d'Hisoka. Il l'approcha à lui, tourna la tête et lui prit ardemment la bouche. Sentant que le blond attendait que le brun s'habitue à sa présence, Ritsuka poussa ses fesses vers l'arrière et s'empala sur ce sexe si dur. Il mordit la lèvre d'Hisoka sur le coup de la douleur. Le blond en se fit pas prier par cet invitation et commença alors ses mouvements de bassin. Il commença par de lents va et viens puis accéléra fortmeent, augmentant la pression de leurs corps à corps. Le sexe du blond était emprisonné, aspiré par l'antre du brun. C'était si chaud et si étroit que ça en était presque douloureux.

 

- Pl..us...fort... quémanda le cadet.

- T'es...vrai..ment un achar..né !

 

Les coups de reins devinrent plus violents, plus fort, plus rapide. Hisoka se sentait tellement bien. leurs corps perlaient de sueur, s'harmoniant parfaitement avec la pluie qui coulaient sur leurs corps endiablés. Hisoka passa une main autour de la taille du brun et empoigna sa verge tendue à l'extrême il se mit à le masturber vigoureusement.

 

- Ah ... Je... j'en peux plus ! s'écria Ritsuka.

- Encore...un peu !  hâleta l'aîné.

 

Ritsuka plissait les yeux sous le plaisir, il n'allait plus tenir très longtemps, la main sur son sexe ne faisait qu'augmentaer son envie de jouir. Il serra un peu plus la nuque de son amant et poussa violemment ses fesses en arrière. Le sexe du blond senonça si profond que Ritsuka ne pu s'empêcher d'hurler et d'éjaculer dans la main de son amant. Les spasme et les tremblements qui agitèrent le fessier de Ritsuka firent se déverser à son tour Hisoka à l'intérieur du brun.

 

- Ca valait le coup d'attendre, déclara le cadet dans un petit rire.

 

Hisoka embrassa à nouveau les lèvres rosés de son amant, passant une main sur sa joue, approfondissant leur échange langoureux. Cette nuit là, ils firent l'amour trois fois. Ils étaient revenus dans leur chambre d'hôtel et étaient allongés dans leur grand lit.

 

- Dis-moi que tu ne me quitteras plus

- Je te le promet Ritsuka, plus jamais.

 

Sur ces belles paroles, ils s'endormirent tout les deux dans les bras l'un de l'autre, la bouche d'Hisoka contre le front de son amour. Une odeur d'amour flottait dans l'air, une odeur de bonheur, une odeur que seuls ce couple pouvait sentir et ressentir.

 

 

Bon alors voila le dernier chapitre, ej suis désolé, il est vraiment TRES long (7pages word) ca peut être un peu chiant à lire mais je pense avoir réussi a faire passer ce que je voulais. Ce n'est pas la FIN, il me reste l'épilogue à écrire. Désoél pour les fans de Un Demi Enfer, j'ai pas eu le temps d'avancer dans l'histoire.

Cette suite vous a-t-elle plu ?

Dim 7 oct 2007 23 commentaires
Bah un peu qu'elle m'a plu!!!!

C'était extra, génial, splendide.... =D
Bloodyrock - le 08/10/2007 à 22h31
excellente la suite !! merci
super-ketchup - le 07/10/2007 à 15h30
On (JE) pouvait pas rêver mieux *______*

T'écris trooooooooooooooop bien *____*
NaNa - le 07/10/2007 à 15h32

trop biennnnnnn j'adore cette histoire


 la fin est tres belle


bonne continuation gros bisous

lilou - le 07/10/2007 à 15h35

Tu OSE demander si ce chapitre nous a plu ? =D MAIS EVIDEMMEEEEEENT qu'il nous a plu !!!


C'était trop bien ^^


Bisous

Bnez - le 07/10/2007 à 15h50

ouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!! >_<


100x oui ! 1000x oui !!!! 1miliard de fois oui !!!!


XD


ils me font trop rire à parler comme ça en plein acte !!!!


sinon, tue la nous cette Nasstasia de mes deux !!!!


(mes deux seins, cela va de soit, je n'ai pas l'atirail pour dire autre chose MDR)


vivement l'épilogue !!!!!


<3<3


ps : trop happy de te parle rsur msn XD


ps2 : encore merci pour le design ^^

Elle Sid - le 07/10/2007 à 16h31
mdr j'ai eu quelques larmes pendant ce chapitre, j'étais usper contente de voir ce long chap. Franchement jadore tes histoires, et ct trop romantique! trop bo ce chap! j'en reviens pas! Bravoooo!
ondine - le 07/10/2007 à 16h35
Oh oui X33 elle m'a plu... par contre T_T c'est la fin... il reste encore l'épilogue mais mais... mais c'est la fin...
petite nostalgie... mais heuresement c'est une happy end. Merci beaucoup pour cette histoire (l)(l)(l) magnifique :).
Lybertys - le 07/10/2007 à 17h40
Photo Sharing and Video Hosting at Photobucket C'est mimi!
Utopia - le 07/10/2007 à 18h34
MAGNIFIQUE
Mahea - le 07/10/2007 à 19h26