Présentation

Commentaires

Nadie como tu

Chapitre XIX

-

-

Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi, ni combien de temps j'ai pleuré lorsque quelqu'un toqua à la porte. Je n'eus ni la force d'ouvrir les yeux, ni la bouche... La porte grinça et j'entendis des pas marcher sur ma moquette blanche. Djina se remis à gigoter comme un vers de terre. Je portais ma main à ses cheveux et les malaxais tendrement. Un poids s'affaissa de l'autre côté du lit et un corps se glissa dans les draps. J'ouvris lentement les yeux et découvrit Juan, le visage rongé par la culpabilité. Ses yeux étaient rougis d'avoir trop pleuré. Il mordait sa lèvre inférieur pour empêcher à nouveau ses sanglots qui menaçaient d'exploser.

 

- Je suis désolé, réussit-il à articuler en m'enlaçant. Pardon , pardon, pardon.... Il pleurait à nouveau.

 

Aucun mot ne franchit mes lèvres, je restais dans ses grands bras, inerte. Djina se réveilla et poussa un grognement, un peu trop compressé entre nos deux corps masculins. Juan s'écarta à regret de moi. Il gardait sa tête obstinément baissée. je lui pris le menton entre mon pouce et mon index, tout en le releva délicatement. Il me regarda avec cet air désespéré. Croyait-il que je voulais le quitter ? Avait-il peur de me perdre ? Je déposais doucement mes lèvres sur les siennes. Cette douce chaleur qui m'envahissait chaque fois que j'entrais en contact avec la peau de Juan revenait à grands galop. Ses lèvres, ses douces lèvres pulpeuses. Si tendres, si parfumées. Les muscles de mon compagnon se détendirent. Après quelques secondes d'un baiser digne d'un couple de poisson rouge, Juan passa lentement sa langue sur mes lèvres. Juste le bout, timidement. puis il s'écarta, le visage meurtri. Je me levais avec Djina dans les bras. Durant une seconde, je vis le visage de Juan se décomposer. Mais il se calma assez rapidement, lorsqu'il se rendit compte que je la déposais seulement dans son berceau. Le petit bout de chair dormait à poings fermés tout en suçant son pouce. J'embrassais son front et regagnais ma place dans le lit. La chaleur de ce petit nid m'empli le coeur de joie. Alors pourquoi cette tension...

 

- Je ne t'en veux pas Juan... lui dis-je tout en enfouissant ma tête dans son cou. Ca me fait mal que quelqu'un d'autre ait pu profiter de ce corps si merveilleusement sculpté... J'accompagnais mon geste à la parole tout en glissant mes mains sur ses fins abdominaux. Il tressaillit.

- Tu as mal ? demanda-t-il avec une sorte de souffrance perceptible dans le ton de sa voix.

 

Je réfléchissais à la question. Avais-je mal ? Oui... mais pas au point de le quitter. Non, jamais. Ce n'était pas réellement une tromperie, il ne m'avait pas trahit. J'étais parti, JE l'avais abandonné... Ce Juan si fort que j'avais rencontré, si hautain et fier de lui avait laissé place à un homme fragile et... amoureux. Je pris une grande inspiration.

 

- Je te mentirais si je te disais que non... Juan se tortilla , gêné. Mais c'est normal, repris-je. ce n'est pas contre toi, je suis juste triste et en colère contre moi-même. Tu souffres car tu crois que je vais te quitter pas vrai ?

- Oui... Je t'ai trompé après tout, murmura-t-il , maussade.

 

Je relevais lentement la tête de son cou et déposa un baiser sur es joues, humides. J'avais mal au coeur pour lui. Comment pouvait-il croire que je voulais me séparer de lui. Juan est celui qui comble mon coeur, qui le rempli de chaleur.

 

- Ne dis... plus... Jamais...ça, murmurai-je tout en mordillant le lobe de son oreille. En plus tu pars demain, ne crois pas que tu vas t'en sortir aussi facilement.

 

Son corps s'arqua. Je collais mon bassin au sien. Je fus étonné, il n'étais vêtu que d'un simple boxer. Contrairement à moi, qui m'étais endormi tout habillé.  Je glissais mes mains et caressais ses cuisses. Elles étaient douces, il avait très peu de poils, à peine un duvet... Ses jambes frissonnèrent... de plaisir ? Je l'espérais.

 

- Miguel, arrête... gémit-il. Je relevais la tête tout en fronçant les sourcils. Il y a Djina, s'excusa-t-il, ayant compris que je ne comprenais pas son refus.

 

Un sourire narquois se dessina sur mon propre visage. Je remontais ma main... pour la placer sur l'entrejambe de Juan. Il sursauta. Son sexe était déjà bien gonflé. Je descendis son boxer le long de ses cuisses et repris ma masturbation.

 

- Mais que...

- Chut... je le fis taire en posant mes lèvres sur les siennes. Tu n'auras qu'à ne pas faire de bruit.

 

Mas masturbation devint plus intense, mes geste plus rapide et vigoureux. le sexe de Juan se gonflait de plus en plus dans ma main. J'allais mordiller la peau de son cou. Un gémissement s'échappa de sa bouche. il y plaqua sa main pour se faire taire. je la lui enlevais délicatement, sans arrêter de lui procurer du plaisir.

 

- Dis-le. t'en a envie hein ? lui demandais-je d'une voix sensuelle tout en glissant ma la langue ses lèvres.

- Miguel... se plaigna-t-il.

- Dis-le...

- Suce-moi...

 

Ravi de mon pouvoir sur lui, je l'embrassais fougueusement et pris le chemin qui me mènerait au sexe de Juan. ma main laissant sa place, j'enveloppais la verge dressé entre les parois de ma bouche. Je serrais mes lèvres au maximum afin qu'il y ressente plus de plaisir. Au départ, mes vas et viens furent lents, calculés. Au fur et à mesure que la tension augmentait, j'accélérais mes mouvements. je sentis la main de Juan se poser sur le derrière de ma tête. Au bout de quelques minutes de succions intenses, le corps de Juan tressauta et il se déversa au fond de ma gorge, en me forçant à engloutir son sexe au maximum. Je gardais son sperme dans ma bouche et alla l'embrasser. Il prit part à sa propre semence. Je me déshabillais, enlevais mon jean et mon t-shirt ainsi que mon boxer. Je me calais dans son dos. Mon sexe frôlant son cul à chacun de ses mouvements. Je sentis Juan poussais ses fesses vers l'arrière. Il passa un bras derrière lui et agrippa mon cul qu'il pressa afin se coller encore plus mon sexe contre ses fesses.

 

- Prends moi !

 


 

Bon c'est pas un chapitre super méga géniale mais juste ce que j'ai produit ce matin dans un élan de connerie. donc c'est ça ou rien et TOC !

Ps : Brindille et appelé à l'accueil ! Je répète , Bindille est attendu auprès de ses lecteurs !

Un petit gif de Gravitation en cadeau <3<3 Mon moment préféré =P

Par Pepitooo - Publié dans : Nadie como tu
Voir les 9 commentaires - Ecrire un commentaire

LeYAOI est un ART

LE YURI

AUSSI
nous2a2.jpg

 

 Un mot, une histoire, des écrits...

4 lettres irremplaçables.

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés