Chapitre XX
J'étais abasourdie par sa demande. Depuis quand voulait-il se faire prendre par moi ? Jusqu'à présent, j'avais toujours été celui qui était pris , et je ne m'en été jamais plains... Il sait pas combien ça fait mal au cul ??! Il est fou. ou quoi ? il veut peut-être pas réussir à rentrer demain en marchant droit. Je me surpris à sourire tout seul en pensant à ma connerie. La moue boudeuse de Juan me tira de ma rêverie.
- Pourquoi tu ris ? me questionna-t-il.
- Pour rien... répondis-je en contenant un fou rire.
- Hum... Tu veux bien ?
Ses yeux brillaient d'envie, de désir et d'excitation à la fois. Je lui caressais la joue de mon pouce, tout en lui soufflant de petites échappées d'air fraîches.
- Pourquoi mon ange ? Ça fait mal tu sais...
- Porque te quiero...
Je fus touché par ses paroles. C'était tellement bon de l'entendre me dire je t'aime. Je resserrais mon étreinte autour de son bassin et le pressais encore plus fort contre moi. Mon érection se frottait contre ses fesses qu'il ne cessait de mouvoir.
- Je te promets que tu t'en souviendra toute ta vie, lui dis-je en déposant un baiser sur sa joue.
- Y a plutôt intérêt, que j'ai pas mal pour rien !
Je riais à sa remarque, il avait le don de faire de l'humour dans les situation les plus romantique et ... accessoirement de casser l'ambiance ! Il prit ma main , qui était gentiment posée sur son bassin et la porta à sa bouche. Là, il lécha délicatement mes doigts tout en suçotant le bout. Il les lâcha enfin et les enfonça dans son anus. Je n'eus pratiquement rien à faire , si ce n'est bouger mes doigts dans cette étroite cavité. Mes caresses lui arrachaient de puissants gémissement qui m'excitaient un peu plus chaque fois. Le jugeant suffisamment prêt, je retirais mes doigts et les remplacer par le bout d mon gland que j'enfonçais lentement dans l'orifice de mon amant. Je ne voulais pas lui faire mal, je voulais que se soit parfait. mais mon compagnon ne semblait pas de mon avis. Juan poussa ses fesses d'un seul coup vers l'arrière et mon pénis rentra d'un seul coup. Je l'entendis gémir de douleur. je voulus me retirer mais il attrapa ma nuque d'une main et pressa mes fesses de l'autre.
- Continue... Il gémissait, me suppliait.
- Mais tu as mal !
- Continue j'te dis ! Ca va passer !
- Mais t'es déformé tellement ta mal !
Les yeux de Juan devinrent noirs et me lancèrent des éclairs. Un instant, il me fit réellement peur, il empoigna violemment la base de ma queue en la pressant extrêmement fort, trop à mon goût.
- Aiiiiiiiie ! Ca fait mal crétin !
- Dépêche-toi si tu veux pas que j'te l'arrache ! me lança-t-il menaçant.
- Tu va pas être déçu ! lui rétorquais-je en donnant un coup de rein extrêmement violent.
- Ah ! Tu veux me tuer ! Juan s'accrochait puissamment à mon cou tandis que je lui donnais des coups de bassin à un rythme extrêmement rapide.
- T...t.ais... toi !
- T'as... qu'à être... pl..us d..doux ! haleta-t-il.
- C'est pas toi qui voulais t'en souvenir ?! Assume !
Je lui choppais la gorge de ma main libre et la penchais en arrière. je me mis à lui mordiller la peau du cou. Il me prit avidement la bouche tout en appuyer ses fesses contre mon pénis.
- Plus... fort ! Miguel...
- Je t'aime Juan...
Dans un dernier coup de rein, je me laissais emporté par la vague de jouissance qui me submergeait. Tout en sueur, je me calmais aux côtés de mon amant, reprenant lentement la respiration. Juan se blottit dans mes bras. Il descendit son visage vers l'un de mes tétons et les taquina. Ils se durcirent instantanément. Quelques secondes plus tard, mon pénis redevint dur à son tour. Je vis Juan sourire. D'un sourire... machiavélique.
- Fatigué ? me demanda-t-il.
Il avait l'air si sûr de lui. Si... confiant. Lui qui était en train de pleurer pas loin d'une demi-heure avant nos ébats. Je lui rendis un sourire encore plus narquois que le sien et fermais les yeux.
- Oui , bonne nuit , répondis-je de manière à le provoquant.
Je sentis une langue léchait le long de mon oreille et un rire à la limite du sadisme. J'en eus des frissons.
- Je vais te réveiller t'inquiètes !
Sur ces mots, il s'empala sur ma verge déjà tendue à l'extrême en un cri de plaisir. Je posais mes mains sur ses hanches, massais ses fesses tandis qu'il levait ses cuisses et les rabaissais. Il était si chaud, si bon... Je pris son sexe dans ma main et imprimé des mouvements forts et rapides. Je le sentis tressaillir et éjaculer sur mon ventre. Je me libérais peu de temps à près. Il me jeta une oeillade qui en disait long...
- Vas-y sors ta connerie !
Dans un sourire immenses qui lui fendait le visage en deux, il étala tout sa semence sur mon corps et s'enfuyais en riant.
- Espèce de ... je vais t'arracher les yeux !
- Si tu fais ça, je n'arriverais pas à faire la différence entre une banane et ton pénis !
- Tant que tu me la mords pas...
Je me pris un coussin dans la figure puis , le coussin enlevé, la bouche de Juan se posa sur mes lèvres. Nous sommes restés ainsi pendant cinq minutes. Sans faire un geste, sans introduire notre langue dans la bouche de l'autre. Juste savourer le goût de ses lèvres parfumées et du bonheur que me procurait sa simple présence. Ah... Juan...
LOOOOOOOOOL , ca me tue de devoir vous menacez pour avoir un minimum de grattitude, quand c'est dans votre intéret, bah la les com ca y va mais sinon nada. Bref merci aux lectrices fidèles, les autres... Vous m'avez comprises :)
Ensuite, non ce n'est pas la fin pour DMQTA , je ne finirais jamais une histoire comme ca, et en + ya pas eu de lemon encore, il y en aura au moins un dans chacune de mes fics, mais il ne faut pas abuser des bonnes choses xD
Comme c'est chou !!!
Luv'u All <3
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