Présentation

Commentaires

Nadie como tu

Pardon tout le monde, ej sais que ce n'est pas la suite que vous attendiez mais c'est la seule que j'vaais enr éserve, il se trouve que je ovulais vous faire une suite aujourd'hui mais j'ai oublié que jedevais aller acheter mes livre de terminale et en + j'avais mon examen pedagogique pour la conduite accompagnée (en passant je me suis fait déboiée xD je roule trop vite :p)


 

Chapitre VII

-

-

Après cette confession inattendu. Nous sommes restés silencieux.

Alonso nous appela une fois de plus pour venir manger et tel un robot, Juan me dirige vers la salle  mange. Luxueuse, comme le reste de la villa.

 

Le dîner se passa sans encombre, Juan avait retrouvé son sourire habituel et Erika ne cessait de complimenter Djina sur ses magnifiques boucles blondes. Moi je restais silencieux, pensif.  Alonso du le remarquer car il toussa un peu fort de sorte à me faire sortir de mon absence.

 

-        Ca ne va pas Miguel ?

-        Oh..si, j’étais juste… ailleurs.

 

J’esquissais un petit sourire triste.

 

-        Mama le quiere. (maman lui manque)

-        Djina… dis-je avec un ton plein de reproche.

-        T’quiero ! ( je t’aime !)

 

Alonso éclata de rire, suivit d’Erika. Seul Juan restait silencieux, un visage inexpressif, il fixait Djina sans ouvrir la bouche. Puis je le vis secouer la tête.

 

-        Je peux sortit de table papa ?

-        Oui vas-y, mais où vas-tu ?

-        Au château.

-        Prend Miguel avec toi, fais lui connaître les environs.

 

 

Juan se crispa, apparemment, l’idée ne lui plaisait pas des masses.

 

 

       -        C’est gentil de proposer, mais je dois encore laver Djina et la mettre au lit.

-        Erika sera ravi de le faire ne t’en fais pas !

 

 

Je sentis une bouffée de jalousie m’envahir tout le corps. Je du respirer calmement et me contrôler avant de m’énervait. Je serrais les dents.

 

-        C’est moi qui le fais depuis que Djina est née.

 

Alonso afficha une moue consternée et à a fois désolé.

 

 

-        Oh… je… fais comme tu le sens !

-        Merci.

 

 

Juan quitta la table et s’éclipsa, sans un mot, sans un regard. Une fois de plus, je pris Djina dans mes bras et me dirigeais vers la salle de bain (que l’on m’avait si gentiment montré quelques heures plus tôt.

 

Je déshabillais ma petite sœur habilement, la porte fermée à clé. L’eau de la mini baignoire était déjà bien remplie. J’y plongeais mon doigt afin de tâter la température de l’eau. Parfait. J’y installais donc confortablement Djina.

 

-        ‘Guel !

-        Oui je sais ma puce, attends deux secondes.

 

J’allais fouiller dans le sac des affaires de Djina et en ressortit son jouet fétiche pour le bain. Un affreux canard délavé jaune pisse.

 

-        Ten. (tiens)

-        ‘acias ! (Gracias- merci)

 

 

Elle joua un moment dans son bain. L’eau était d’un bleu ciel vraiment très beau. Le canard avait presque l’air mignon. Après une bonne dizaine de minutes d’amusement et de lavage corporel, je séchais Djina. Je la vis bâiller. Le voyage, les nouveaux gens, la nouvelle maison, il devait être crevé le petit  monstre. Je la mis rapidement dans sa grenouillère rose pâle avec la tête d’un nounours marron dessus puis nous sortîmes de la salle de bain. A nouveau, je pris le chemin de ma chambre.

 

Je déposais Djina dans son berceau et allumais les veilleuses. Je rabattis une légère couverture sur son petit corps et j’attendis, j’attendis qu’elle s’endorme. J’attendis que son ses yeux se ferment. J’attendis que sa petite main lâche mon petit doigt. J’attendis longtemps. Et quand je me réveillais. Il était déjà minuit et demi. Je descendis donc à la cuisine, la soif me tenaillant la gorge. J’emplissais donc un grand verre de lait et le bu d’une traite.

 

Après un petit moment, passé sur une chaise en bois devant une table grise métallisée à scruter le mur en face de moi. Je me décidais à remonter dans ma chambre. J’ouvris la porte le plus doucement possible, malgré le grincement imminent de celle-ci puis me dirigeais vers le berceau. Djina dormait toujours profondément. Je m’allongeais calmement sur mon lit, les yeux rivés au plafond. Je tâtais le matelas à côté de moi et me rendis compte que j’avais oublié mon portable en bas. Je me relevais et partit une deuxième fois en direction de la cuisine.

 

J’ai commencé à descendre doucement, essayant de ne pas faire grincer chaque marche Il faisait complètement noir. Arrivé au milieu de l’escalier en colimaçon, j’ai entendu du bruit et des chuchotements : quelqu’un montai dans l’autre sens. J’ai voulu rebrousser chemin en vitesse mais trop tard, je me suis retrouvé nez à nez avec Juan, une bougie à la main… Il a reluqué ma tenue, c'est-à-dire, mon boxer, avec un petit œil malicieux.

 

-        Où tu vas comme ça amado ?

-        Chéri ? arrête de m’appeler co…

-        Ca va, j’ai compris.

 

 

J’ai du m’enrouler littéralement autour de la rampe pour qu’il puisse passer, l’escalier (contrairement au reste de la maison) est vraiment minuscule. Je l’ai sentit se colle à moi, une odeur d’alcool assez forte. En passant, il a posé ses mains de chaque côté de ma taille pour s’aider, et il les a légèrement serrées. J’ai sentis un frisson mon parcourir tout le corps. Pis, une autre présence, derrière moi. Un corps léger, une voix douce et féminine, qui à son tour à posé ses mains sur mes hanches pour passer.

 

 

-        Pardon… excuse-moi …

 

 

La longue silhouette gravissait les dernières marches, ses cheveux longs plutôt clairs, le bruit de talons aiguille, une mini robe noire. Je suis restait planté dans cet escalier à les regarder. Juan a allumé la lumière et je l’ai vu l’enlacer. Je l’ai vu l’embrasser. Il l’a fait entrer dans sa chambre. Ils riaient. La porte était toujours ouverte. Le « couple » restait planté sur le seuil.  Il a sensuellement retiré son T-shirt e je l’ai vu lui attraper la taille afin de l’attirer contre lui. Il passa une main dans son dos et l’autre dans ses cheveux. Il a enfoui la tête dans la tignasse blonde puis il l’a relevé. Juan a planté ses yeux dans les miens et… il a sourit avant de disparaître avec sa conquête, refermant la porte derrière eux. Me laissant seul, avec toutes mes questions.

 

Par Pepitooo - Publié dans : Nadie como tu
Voir les 12 commentaires - Ecrire un commentaire

LeYAOI est un ART

LE YURI

AUSSI
nous2a2.jpg

 

 Un mot, une histoire, des écrits...

4 lettres irremplaçables.

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés